Aussi conviviaux qu’instructifs, les ateliers-repas d’Elisabeth proposent de cuisiner ensemble le repas à partager. Au programme : un peu de théorie pour comprendre, un atelier pour pratiquer et un repas pour déguster et échanger.
C’est effectivement dans la gastronomie coréenne, entre cuisine chinoise et nippone, que nous puiserons l’inspiration pour accueillir dignement le printemps avec des verdures bien sûr, des œufs, du riz, du kimchi mais pas que… et des rouleaux, des boulettes, des chaussons et des crêpes… Autant de recettes qui rappellent que la conception de la nourriture en Corée est aussi le fruit de toute une culture issue du taoïsme, du confucianisme et du bouddhisme, lequel se voit aujourd’hui amplement promu au travers de la cuisine des temples qui invite à se réinscrire dans un ordre naturel.
Mais au-delà du plaisir de la découverte, cette immersion sera aussi prétexte à décoder le phénomène de la vague mondiale de la K-culture et évoquer le pouvoir de séduction de la gastronomie, qualifiée de « soft power », qui dépasse désormais les cercles diplomatiques et opère dans notre quotidien.
Mais au-delà du plaisir de la découverte, cette immersion sera aussi prétexte à décoder le phénomène de la vague mondiale de la K-culture et évoquer le pouvoir de séduction de la gastronomie, qualifiée de « soft power », qui dépasse désormais les cercles diplomatiques et opère dans notre quotidien.










